Cette microcertification de 3 jours a pour but d’éduquer et de former les apprenants aux meilleures pratiques de gestion de projets de manière durable et régénérative. Grâce à l’intégration d’études de cas et d’exemples tirés de l’industrie de la construction, les apprenants acquerront une compréhension approfondie des principes fondamentaux de la gestion de projet, tel que la triple contrainte, l’étendue du produit par rapport à l’étendue du travail, l’engagement des parties prenantes, la budgétisation et le suivi. Cette formation se distingue elle se distingue des autres formations en détaillant les meilleures pratiques de gestion de projet durable basées sur le standard P5 de GMP. Les apprenants exploreront les considérations environnementales liées aux personnes, à la planète, au profit, au produit et au processus. En adoptant la méthode PRiSM (projets intégrant des méthodes durables), les apprenants acquerront les compétences nécessaires pour gérer efficacement l’ensemble du cycle de vie d’un projet tout en l’intégrant de manière transparente aux pratiques existantes de leur organisation.
Les apprenants seront outillés pour identifier et atténuer les risques dans des domaines tels que la réduction des émissions de carbone dans les chaînes d’approvisionnement, la mise en œuvre de pratiques d’embauche DEI, l’évaluation de l’impact d’un projet sur les écosystèmes locaux, et de la création de bénéfices économiques locaux, et autres considérations. Cette formation permet aux apprenants de prendre des décisions éclairées qui favorisent la durabilité dans tous les aspects de la gestion des projets de la construction.
Après avoir complété la formation et réussi l’examen, les apprenants recevront la certification GPM-b de gestion de projet durable (Green Project Management) en plus de l’attestation de réussite du Collège Algonquin.
À la fin de cette microcertification, les apprenants seront capables de :
Selon l’Association internationale de gestion de projets (IPMA), 35 % du PIB mondial est actuellement consacré aux projets, et cette proportion devrait augmenter à 50 % d’ici 2030. De nombreuses organisations ne prennent en compte que les coûts opérationnels dans leurs données et rapports ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance), sans tenir compte de la conception ou de la production de projets. La formation de la gestion de projet durable (GPM) forme les apprenants à prendre en compte et à budgétiser les risques durables liés à 49 éléments différents tels que l’emploi et le recrutement, l’égalité des chances, les revendications environnementales et l’écoblanchiment, la consommation d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre, l’utilisation et le rendement de l’énergie propre, l’érosion et la régénération des sols, l’impact économique local, ainsi que les divulgations ESG et les rapports de durabilité. Cette microcertification intègre le standard P5, l’analyse des impacts P5, le plan de gestion du développement durable et d’autres modèles de rapports, qui sont remis aux apprenants pour qu’ils les utilisent sur le terrain. Ces modèles permettent aux organisations de capter toutes les données pertinentes sur les émissions de carbone nécessaires à leur rapport ESG et à leur divulgation.